Chaque produit est l’expression de nos terroirs : un sol singulier, un climat unique, une biodiversité spécifique. Nous sommes engagés à préserver ces écosystèmes fragiles et à perpétuer nos savoir-faire, construits au fil des générations. Le climat a toujours fait partie de leur histoire, et le réchauffement climatique représente un nouveau défi. C’est pourquoi nous nous engageons, sur nos domaines, et avec nos partenaires, à déployer des pratiques agroécologiques, développer des variétés résistantes pour nos matières premières, et intégrer des technologies de précision au service d’une agriculture et viticulture plus durables.

Nous utilisons désormais 100% d’engrais biologiques, pour préserver la biodiversité des sols, sans sacrifier nos rendements.

Tracteurs dans les vignes
Accélérer
Falaises
Investir
Main tenant une feuille de vigne
Biodiversité
Nos engagements
Nous avons initié notre transition en engageant nos Maisons dans la certification de leurs approvisionnements agricoles. Puis nous avons souhaité aller plus loin en les accompagnant vers des pratiques agricoles régénératives, afin de renforcer la résilience de nos territoires. Tel est l’objet de notre plan « New Generation terroirs » : Tous nos domaines sont désormais en conversion vers l’agroécologie, et nous voulons entraîner dans cette voie tous nos partenaires d’ici à 2030.
Nos engagements
Le réchauffement climatique pose un défi pour nos Maisons, en faisant évoluer les paramètres vitaux de développement de nos matières premières – raisin, orge, orange… -, à l’origine de nos spiritueux et vins d’exception. Face à ces rapides évolutions, nous investissons en R&D au niveau du Groupe et des Maisons, afin de préserver nos terroirs et ceux de nos partenaires. Pour y parvenir, nous collaborons avec des instituts de recherche et investissons dans les nouvelles technologies.
Nos engagements
Pour Rémy Cointreau, la biodiversité est une priorité. Indicateur clé de la fertilité et de la résilience des sols, elle contribue à la singularité de nos campagnes et de nos spiritueux. Nous intégrons sa préservation dans nos activités en mettant en place des initiatives de restauration et de protection adaptées aux besoins spécifiques de nos terroirs. En 2025, nous souhaitons que toutes nos Maisons portent au moins un projet biodiversité en leur sein. 
01
ACCÉLÉRER LA TRANSITION AGROÉCOLOGIQUE À L’ÉCHELLE DE NOS TERRITOIRES
02
INVESTIR EN R&D POUR PRÉSERVER DURABLEMENT NOS TERROIRS ET LEURS SPÉCIFICITÉS
03
BIODIVERSITÉ INDICATEUR DE SANTÉ DE NOS TERROIRS
ACCÉLÉRER LA TRANSITION AGROÉCOLOGIQUE À L’ÉCHELLE DE NOS TERRITOIRES
Nos engagements
Nous avons initié notre transition en engageant nos Maisons dans la certification de leurs approvisionnements agricoles. Puis nous avons souhaité aller plus loin en les accompagnant vers des pratiques agricoles régénératives, afin de renforcer la résilience de nos territoires. Tel est l’objet de notre plan « New Generation terroirs » : Tous nos domaines sont désormais en conversion vers l’agroécologie, et nous voulons entraîner dans cette voie tous nos partenaires d’ici à 2030.
INVESTIR EN R&D POUR PRÉSERVER DURABLEMENT NOS TERROIRS ET LEURS SPÉCIFICITÉS
Nos engagements
Le réchauffement climatique pose un défi pour nos Maisons, en faisant évoluer les paramètres vitaux de développement de nos matières premières – raisin, orge, orange… -, à l’origine de nos spiritueux et vins d’exception. Face à ces rapides évolutions, nous investissons en R&D au niveau du Groupe et des Maisons, afin de préserver nos terroirs et ceux de nos partenaires. Pour y parvenir, nous collaborons avec des instituts de recherche et investissons dans les nouvelles technologies.
BIODIVERSITÉ INDICATEUR DE SANTÉ DE NOS TERROIRS
Nos engagements
Pour Rémy Cointreau, la biodiversité est une priorité. Indicateur clé de la fertilité et de la résilience des sols, elle contribue à la singularité de nos campagnes et de nos spiritueux. Nous intégrons sa préservation dans nos activités en mettant en place des initiatives de restauration et de protection adaptées aux besoins spécifiques de nos terroirs. En 2025, nous souhaitons que toutes nos Maisons portent au moins un projet biodiversité en leur sein. 
Actions Terroirs
Action 1 : CERTIFIER NOTRE APPROVISIONNEMENT AGRICOLE

Nous considérons que notre chemin vers l’agroécologie doit d’abord passer par des garanties extérieures au Groupe, qui témoignent de notre progression et nous engagent sur le long terme. Les certifications reconnues jouent ce rôle auprès de chacune de nos Maisons.

À La Barbade, 85% des achats de canne à sucre de Mount Gay sont certifiés Bonsucro. En Champagne, Telmont ouvre la voie avec 80% de surfaces certifiées Agriculture Biologique (AB) et Haute Valeur Environnementale (HVE). L’ensemble des livreurs Rémy Martin sont engagés dans la certification HVE, et ceux du Domaine des Hautes Glaces sont certifiés AB. Quant à notre Maison Westland aux Etats-Unis, elle progresse, avec 62% de ses approvisionnements certifiés Salmon Safe ou Regenerative Organic Agriculture.

En 2023, ce sont ainsi 82% des matières premières agricoles produites ou achetées par nos Maisons qui sont engagées dans une certification, contre 64% en 2021. À ce rythme, nous gardons confiance pour parvenir à l’intégralité de nos terroirs engagés en 2025. Ces certifications engagent nos partenaires dans une démarche de durabilité et font également figure de guides pour leurs pratiques culturales.

Champs de blé Bruichladdich
Action 2 : CONVERTIR NOS DOMAINES À L'AGROÉCOLOGIE

L’agroécologie prône un mode de culture qui accorde une grande importance à la santé du sol et vise à améliorer l’utilisation des ressources naturelles (eau, biodiversité). L’ensemble de nos Maisons sont en conversion aux pratiques agroécologiques. L’enjeu à date étant pour elles de mesurer la santé écologique de nos sols, de réaliser des expérimentations avant un passage à l’échelle avec le soutien de nos collaborateurs et nos partenaires.

Parmi elles, le Domaine des Hautes Glaces est prescripteur. Il a introduit depuis plus de 10 ans la rotation des cultures, le couvert végétal, la culture sans intrant de synthèse et l’agroforesterie. Il s’approvisionne également en ingrédients issus de terroirs locaux (orge, épeautre, avoine certifiés AB).

À La Barbade, Mount Gay fait aussi figure de pionnier sur la culture de canne à sucre : 100% d’engrais biologiques, couverture permanente des sols (paillage de bagasse, cultures de rotation…), travail mécanique plus respectueux, plantations d’arbres en bordures de parcelles, jachère régénératrice en nutriments… Citons également le contrôle biologique des maladies de la plante et une gestion raisonnée des ressources en eau.

Action 3 : EMBARQUER NOS PARTENAIRES DANS LA TRANSITION AGROÉCOLOGIQUE

La transition agroécologique passe par une mobilisation de l’ensemble de notre écosystème. Pourquoi est-ce central ? Car plus de 95% de nos approvisionnements en matières premières proviennent de nos partenaires agriculteurs et viticulteurs. Au sein de chacune de nos Maisons, nos experts interagissent avec nos partenaires afin de les sensibiliser, de les former, de les accompagner dans la transition et de contrôler sur le long terme la santé des sols.

Au programme, l’explication des raisons derrière la durabilité des pratiques, la transmissibilité des terroirs, l’inscription dans le temps long. Chez Rémy Martin, cela a pris, par exemple, la forme de 5 événements auprès de 460 viticulteurs partenaires, en janvier 2023.

Nos Maisons travaillent activement à renforcer leur expertise, échanger entre elles pour s’enrichir, et partagent ensuite leurs conclusions avec nos partenaires. L’enjeu étant qu’ils puissent adopter des pratiques agroécologiques adaptées à la spécificité de leur terroir, en partant d’une boîte à outils existante : agriculture de précision, couvert végétal, rotation renforcée des cultures, minimisation des intrants, préservation de la biodiversité…

Tracteur dans les vignes
Action 4 : GENESIS – MESURER L’IMPACT DE NOS PRATIQUES AGRICOLES SUR LES SOLS

Si nos sols veulent jouer leur rôle dans la temporisation du climat et la préservation de la biodiversité, nous devons mieux les connaître. Pour cela, nous sommes accompagnés depuis 3 ans par Genesis, 1e agence mondiale de notation de l’état de santé écologique des sols. À partir de son diagnostic scientifique, nous pouvons évaluer l’impact de nos pratiques agricoles dans le but d’améliorer, à terme, la santé des sols, leurs rendements et leurs résistances aux risques climatiques et biologiques.

La notation Genesis s’appuie sur quatre piliers essentiels pour évaluer la qualité et la durabilité du sol : le carbone (quantité stockée dans les sols), la biodiversité (fonctionnement biologique du sol), l’eau (capacité de rétention du sol) et sa fertilité (capacité du sol à produire).

Action 5 : R&D – IDENTIFIER DES VARIÉTÉS RÉSISTANTES AU CLIMAT ET À LA MALADIE

Nous visons 100% de variétés résistantes identifiées pour nos matières premières agricoles d’ici à 2030. L’enjeu est de sécuriser la production de nos matières premières. Pour réussir à les identifier et les éprouver, nous mobilisons notre R&D et collaborons avec le monde académique.

Le Domaine des Hautes Glaces s’allie à l’INRAE en France pour tester des variétés anciennes de semences d’orge, dans le but d’élaborer des variétés plus résistantes à la chaleur et à la sécheresse. La même démarche est menée par Westland aux Etats-Unis, partenaire de la Washington State University.

Le projet VIBRACC, en partenariat avec l’INRAE, le BNIC et le CVC (Conservatoire du Vignoble Charentais), vise à trouver des cépages résistants au mildiou, à l’oïdium et au black rot (principales maladies de la vigne), tout en montrant une résilience au réchauffement climatique, par le croisement naturel entre le Vidal blanc et d’autres variétés résistantes.

Notre pan de recherche antiparasitaire est tout aussi dynamique, avec Cointreau mobilisé sur la préservation des orangers et des bigaradiers menacés par la maladie du Dragon jaune. Alors qu’aucun traitement n’existe à l’heure actuelle, nous collaborons avec le CIRAD de Guadeloupe pour limiter son impact via des techniques naturelles (porte-greffes tolérants, travail du sol…).

Action 6 : RÉMY MARTIN x ONF – PROTÉGER LES FORÊTS DE SON TERRITOIRE

Rémy Martin est mécène de l’Office National des Forêts depuis plus de 10 ans. Notre Maison de cognac soutient des actions de protection ou de reboisement des forêts de la région, notamment la préservation du chêne pédonculé, qui entre dans la composition des fûts de vieillissement de ses eaux-de-vie. Depuis 2021, aux côtés du CPIE Périgord-Limousin, elle participe notamment au financement du projet « Eco-Horte : une forêt école ».

La forêt d’Horte est riche d’une biodiversité d’arbres mêlant feuillus (châtaigniers, chênes) et épineux (pin maritime, pin sylvestre…). Eco-Horte étudie tout particulièrement le développement du chêne pédonculé et son adaptation au changement climatique, en vue d’apporter une réponse à sa préservation dans le futur.

Le projet mène également des actions en faveur des habitats – bénéficiaires à la biodiversité animale – et suit l’adaptation des autres espèces arbustives aux changements climatiques. Ses animateurs sensibilisent les scolaires et le grand public lors de visites thématiques, et impliquent les citoyens au cours de petits chantiers (ex : entretien, plantation, protection des arbrisseaux contre le gibier, etc.).

« L’ONF a engagé depuis maintenant plusieurs années une profonde réflexion sur la problématique du réchauffement climatique afin de rendre les forêts plus résilientes. Il n’est pas impossible qu’en forêt d’Horte vous puissiez rencontrer à l’avenir de nouvelles essences forestières… Pour le vérifier, il vous faudra revenir ! »

Frédéric Villelégier, Technicien Forestier Territorial de la forêt domaniale d’Horte.
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